Les toiles psychiques
Au cœur de New York, dissimulé après une devanture vermeil au néon vacillant, un studio discret accueillait les âmes en rupture d’inspiration. Ce endroit, tenu par une médium mystérieuse, ne proposait ni peinture, ni valeur science, mais un aide singulier : une voyance discount juste destinée aux étoile en dam de nuance de vue. Elle apportait à tous une voyance personnalisé, une image inachevée du sort créatif qu’ils portaient sans le savoir. Chaque prédiction se matérialisait sous forme d’une œuvre potentielle – gravure, pièce, sculpture, film – que l’artiste devait par la suite concrétiser. Le canon était désinvolte. L’artiste s’asseyait dans une brique blanche, déposait une forme représentative personnalisé sur une table écarlate, et la médium écrivait silencieusement quelques silhouette sur un carnet mélancolique. Ces silhouette formaient une allégorie fragmentée de l’œuvre possible : un lieu, une émotion dominante, un système central. Ce fragment devenait la graine d’une conception. Ce concours de discount voyance était si propre qu’en le décidant de suivre facilement, les histrion retrouvaient presque aussitôt leur impulsion inventive. Mais immensément rapidement, certaines personnes refusèrent d'examiner ce qui leur avait s'étant rencontré révélé. Par frousse, par orgueil, par suspicion, ils décidèrent de fabriquer autre chose. Dès à l'instant, des dérèglements apparurent. L’un perdit la puissance de différencier les sons. Une autre vit ses toiles se déformer délicatement sans motif visible. D’autres encore furent confrontés à une stagnation mentale inexpliquée. Ce phénomène, simple mais florissant, devint un domaine d’étude sur une multitude de cabinets spécialisées. Dans les cercles de la voyance discount, l’histoire du studio de la ligne vermeil circulait par exemple une fable contemporaine. 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